Et alors? Qu’est-ce que je peux y faire?
Votre voix est puissante. Les politiciens sont très attentifs à ce qui se passe en ligne. Alors même que s’estompe la pandémie, les représentants et leur personnel restent connectés pratiquement vingt-quatre heures sur vingt-quatre.
Il y a deux choses que nous devons faire :
- Recruter une masse critique qui soutient l’accès continu aux médicaments d’origine biologique qui permettent actuellement de traiter la maladie de Crohn et la colite.
- Ramener le gouvernement à la table de négociation.
Plus de voix s’élèveront en ce sens, et meilleures seront nos chances de faire en sorte que les Québécois ne soient pas brusquement contraints d’abandonner un traitement essentiel à leur bien-être.
« Pour des milliers de Québécois, la gestion quotidienne de la maladie de Crohn ou de la colite dépend de leur accès aux médicaments. La substitution de ces médicaments présente un risque pour leur santé. Il importe donc que le gouvernement se montre patient et qu’il s’assure que toute substitution de médicaments soit faite de manière responsable et tienne compte des répercussions réelles sur la vie des Québécois atteints de la maladie de Crohn ou de la colite. »